Résultats de NI au deuxième trimestre 2023

  • NI (ex National Instruments) a annoncé un chiffre d’affaires de 417 millions de dollars pour le deuxième trimestre 2023, en hausse de 5 % par rapport à l’année précédente, un record pour un deuxième trimestre.

 
# Résultats du deuxième trimestre 2023
– Chiffre d’affaires GAAP de 417 millions de dollars, en hausse de 5 % par rapport à l’année précédente
– Marge d’exploitation GAAP de 10 %
– Marge d’exploitation non GAAP de 22 %

GAAP : Generally Accepted Accounting Principles, soit les principes comptables généralement acceptés.

Au deuxième trimestre, la valeur totale des commandes de la société a baissé de 17 % par rapport à l’année précédente. Les commandes ont baissé de 20 % dans les Amériques, de 26 % dans la région APAC (Asie pacifique) et sont restées stables dans la région EMEA (Europe, Moyen Orient et Afrique) d’une année sur l’autre.

Au deuxième trimestre, la marge brute GAAP était de 72 % et la marge brute non-GAAP de 74 %. Le total des dépenses d’exploitation GAAP était de 257 millions de dollars et les dépenses d’exploitation non-GAAP étaient de 218 millions de dollars. Le bénéfice d’exploitation GAAP pour le deuxième trimestre était de 41 millions de dollars et le bénéfice d’exploitation non-GAAP de 91 millions de dollars. Au deuxième trimestre, la marge d’exploitation GAAP était de 10 % et la marge d’exploitation non-GAAP de 22 %.

Au deuxième trimestre, le bénéfice net GAAP était de 30 millions de dollars et le bénéfice net non-GAAP de 68 millions de dollars.

Au 30 juin 2023, NI disposait de 139 millions de dollars de trésorerie et d’équivalents de trésorerie.

Les résultats non GAAP de NI excluent, le cas échéant, l’impact des ajustements de la juste valeur de la comptabilité d’achat, la rémunération à base d’actions, l’amortissement des immobilisations incorporelles liées à l’acquisition, les coûts de transaction et d’intégration liés à l’acquisition, les impôts prélevés sur le transfert de la propriété intellectuelle acquise, la perte de change sur les acquisitions, les charges de restructuration, les charges liées à la réforme fiscale, les gains de cession sur les bâtiments et les contributions caritatives connexes, l’impôt sur les bénéfices et les frais de gestion.