- NI (ex National Instruments) annonce avoir réalisé un chiffre d’affaires de 347 millions de dollars au deuxième trimestre 2021.
- L’entreprise texane estime que son chiffre d’affaires GAAP du troisième trimestre 2021 devrait se situer entre 355 et 385 millions de dollars.
# Résultats du deuxième trimestre 2021
– Revenus GAAP de 347 M$, soit une hausse de 15 % par rapport à l’année précédente.
– Résultat d’exploitation GAAP de 25 M$, en hausse de 50 % par rapport à l’année précédente.
– Résultat d’exploitation non GAAP de 60 M$, soit une hausse de 38 % par rapport à l’année précédente.
# Résultat du premier semestre 2021
– Revenu GAAP de 682 M$, en hausse de 12 % par rapport à l’année précédente.
– Résultat d’exploitation GAAP de 34 M$.
– Résultat d’exploitation non GAAP de 111 M$.
GAAP : Generally Accepted Accounting Principles, soit les principes comptables généralement acceptés.
Au deuxième trimestre 2021, la valeur des commandes de la société a augmenté de 33 % par rapport à l’année précédente. Les commandes ont enregistré une croissance de 22 % en Amérique, de 51 % dans la région EMEA (Europe, Moyen-Orient et l’Afrique) et de 36 % dans la région APAC (Asie-Pacifique).
Le chiffre d’affaires par régions du monde en dollars américains pour le deuxième trimestre 2021 par rapport à la même péridode en 2020 a augmenté de 11 % dans les Amériques, de 17 % dans l’APAC et de 19 % dans l’EMEA.
« Nous sommes très satisfaits des excellents résultats du deuxième trimestre, le chiffre d’affaires ayant dépassé la limite supérieure des prévisions. La dynamique de la demande des clients s’est poursuivie, la valeur totale des commandes du deuxième trimestre ayant augmenté de 33 % par rapport à l’année précédente. Cela représente un nombre record de commandes pour un deuxième trimestre et une croissance à deux chiffres par rapport à l’année précédente dans tous les secteurs et toutes les régions « , a déclaré Eric Starkloff, président et PDG de NI.
Les résultats non GAAP de NI excluent, le cas échéant, l’impact des ajustements de la juste valeur de la comptabilité d’acquisition, la rémunération à base d’actions, l’amortissement des immobilisations incorporelles liées à l’acquisition, les coûts de transaction et d’intégration liés à l’acquisition, les taxes prélevées sur le transfert de la propriété intellectuelle acquise, la perte de change sur les acquisitions, les charges de restructuration, les charges liées à la réforme fiscale, les gains de cession sur les bâtiments et les contributions caritatives connexes, les effets fiscaux liés aux entreprises détenues en vue de la vente, le gain sur la vente d’entreprises, et la capitalisation et l’amortissement des coûts des logiciels développés en interne.
